(Life dies, life's born).
They entered the sacred valley after wintry dawn.
The Sun's gone dim and the long forgotten daylight become ethereal.
Ethereal gloomy!
They didn't hear the desperate warnings of the mountains.
The voices are near...
Only the shimmering brightness blinded their eyes.
They crawled in the snow to find asylum.
Pounding sound coming closer and closer.
Echoing drums and loud chants.
They faced the deadliest vision they'd ever seen.
Ethereal wintry death.
When mountains shed tears down to the sanctuary
Hear the silent mourning of the Moon
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert
Some nice atmospheric funeral doom here, with My Dying Bride-influenced gothic undertones. Good variety of material rather than uniformly melancholic sonic monoliths. Most of the songs build from fairly gentle beginnings to heaving crescendos. Of particular note is second track, Weakness, an acoustic guitar-led funereal tour-de-force. Sonny92